PendantprĂšs de six ans, Caligula est quasiment sĂ©questrĂ© Ă  Capri par TibĂšre qui, faute de mieux, finit par en faire son hĂ©ritier. En public, il contrĂŽle parfaitement ses Ă©motions. Toute la haine qu’il contient trouve un exutoire dans les combats de gladiateurs qu’il aime particuliĂšrement sanglants, le spectacle des condamnations Ă  mort, les bagarres la nuit dans les rues sombres LeRoi Wu de Zhou Ă©tait le fils du Roi Wen du Royaume de Zhou. Dans la douziĂšme annĂ©e de sa succession au trĂŽne, le Roi Wu initia la Dynastie Zhou (1122 avant J.C – 222 avant J.C). La Dynastie Zhou a Ă©tĂ© une importante pĂ©riode de l'histoire de la Chine. 37 empereurs ont gouvernĂ© pendant neuf cents ans avant que le Dynastie Zhou ne soit conquise par la Dynastie Filsde l'empereur Henri VI et de Constance de Hauteville, hĂ©ritiĂšre des rois normands, FrĂ©dĂ©ric naquit Ă  Iesi le 26 dĂ©cembre 1194. Orphelin Ă  quatre ans, le jeune roi de Sicile est confiĂ© Ă  la tutelle d'Innocent III et assiste Ă  la dĂ©gradation de son royaume, tiraillĂ© entre les barons indigĂšnes et allemands, les lĂ©gats LeRoyaume de Re-Estize (ăƒȘăƒ»ă‚šă‚čăƒ†ă‚ŁăƒŒă‚ŒçŽ‹ć›œ) est une nation humaine du Nouveau Monde, et l’une des trois principales nations humaines voisines du Grand Tombeau de Nazarick.Actuellement, il se trouve dans un Ă©tat de dĂ©sordre politique et de troubles civils, en raison des luttes de pouvoir entre la royautĂ© et la noblesse, et des problĂšmes de succession ilsle reprĂ©sentent et font rĂ©gner l'ordre. 1214 - La victoire de Bouvines Philippe Auguste remoorte une victoire prestigieuse et populaire sur le roi d'Angleterre et l'empereur d'Allemagne Ă  Bouvines en 1214. Le peuple de France est pour la premiĂšre fois uni derriĂšre son ART PRESSE souverain : tout le royaume est en fĂȘte. RETENIR pLmyL. Il y a trente ans, Didier Piganeau, alias Didier 1er rĂ©gnait sur le Royaume de Basoche Ă  Poitiers. Avec ses camarades, joyeux lurons, l’étudiant en droit, Ă  l’esprit frondeur, s’est inventĂ© ce Royaume, constituĂ© de quelques bistrots et de franches rigolades. A la suite d’une bonne blague, en 1977, il s’est ainsi retrouvĂ© invitĂ© au couronnement de Bokassa 1er Ă  Bangui en Centrafrique. Pris dans l’engrenage, il a assumĂ© jusqu’au bout son rĂŽle de roi et sa couronne imaginaire. Devenu journaliste Ă  Sud-Ouest, il raconte son incroyable pĂ©riple, dans Le roi chez l’empereur, aux Ă©ditions La Table Ronde. TĂ©lĂ©charger l'interview 1. La sorte de C coutumiĂšres = les lois fondamentales du royaume au XVIeav. XIVe s deux rĂšgles de la couronne - hĂ©rĂ©ditĂ©- primogĂ©niturese distingue trĂšs peu du droit commun fĂ©odalXIVe s statut de la couronne = rĂšgles diffĂ©rentes = dĂ©volution + domaine de la couronne => trois nouveaux ppe = masculinitĂ©, indisponibilitĂ©, inaliĂ©nabilitĂ©. 2. expressions de la distinction *masculinitĂ© exclusion des filles 1316 roi pas de graçon, on Ă©vince sa fille Jeanne et Philippe V, frĂšre du roi, devient roi de France. 1317 convoque assemblĂ©e qui affirme qu'aucune femme succĂšdera Ă  la couronne de France. exclusion des mĂąles par les femmes rejet d'Édouard III d'Angleterre au profit de Philippe de Valois. MasculinitĂ© justifier par trois arguments - saint 2 passages de l'Ă©vangiles- juridique fille tjrs Ă©cartĂ© au profit du frĂšre Ex Philippe Auguste + une femme n'a jamais reigner = invocation de la coutume- argument historique de Jean Vignay 1340, exclusion des femme existait depuis trĂšs longtemps, avec la loi salique terra salica comme le montre Robert Lescot 1368, puis repris par Jean de Montreuil 1410 dans son TraitĂ©.* indisponibilitĂ© Origine TratĂ© de Troyes conclut Guerre de 100 ans 1420 => Charles VI donne couronne Ă  Henri V d'Angleterre. Cdpt, rĂšgle d'indisponibilitĂ© appuyer par - la coutume jamais un roi F a exhĂ©rĂ©dĂ© son Jean de Vermeille 1419 summa divisio bien humain/bien divins => biens humains = biens patrimoniaux + biens extrapatrimoniaux => 2 rĂ©gimes successoraux pas de succession hĂ©rĂ©ditaire pour bien extrapatrimoniaux, modalitĂ©s fixĂ©es par la n'hĂ©rite pas de la fonction royale, on succĂšde = mĂȘme systĂšme que pour biens patrimoniaux => succession prend apparence d'une succession hĂ©rĂ©ditaire, dite "quasi hĂ©rĂ©ditaire". IdĂ©e repris ensuite par Jean JuvĂ©nale des Ursaints. *InaliĂ©nabilitĂ© du domaine AprĂšs reconstruction du domaine, nĂ©cessaire de rendre inaliĂ©nable le domaine pour Ă©viter une nouvelle dislocation. + aliĂ©nabilitĂ© nĂ©cessaire pour gestion du royaume + rĂ©compense des seigneurs. => ppe inaliĂ©nabilitĂ© doit pas ĂȘ trop strict. Augmentation des dĂ©penses publiques sous PLB 2nd moitiĂ© XIIIe => roi avait besoin de plus d'argent => aliĂ©nation des domaines => trĂšs de GuniĂšre affirme inaliĂ©nabilitĂ© du domaine = roi est usufruitier du domaine. => pas propriĂ©taire => peut pas l'aliĂ©ner => interdictino de toute aliĂ©nation par ordonnance de Charles fils Jean II en 1357 => impossibilitĂ© d'aliĂ©nation avec traitĂ© de Bretigny 1360. => serment d'inaliĂ©nabilitĂ© du roi => seule couronne est siĂšge de la souverainetĂ©, seule propriĂ©taire du domaine. => protection de la couronne passe par des droits opposables Ă  tous, mĂȘme au roi. La dĂ©finition du roi comme seigneur apparaĂźt au moment de son sacre, dans le matĂ©riel chevaleresque qui lui est remis l'Ă©pĂ©e et les Ă©perons avec la formule Le roi ne tient son royaume que de Dieu et de son Ă©pĂ©e ». Le royaume devient un bien privĂ© que le monarque reçoit par hĂ©rĂ©ditĂ© et sur lequel il exerce son plein pouvoir. Le roi est souverain, c'est-Ă -dire que lui seul peut reconnaĂźtre les droits attachĂ©s Ă  une terre, Ă  une ville, Ă  une province ou encore Ă  un individu exerçant une fonction au nom du roi. Il admet ainsi un fractionnement de la puissance publique et l'utilise finalement comme piĂšce maĂźtresse de la sociĂ©tĂ© de par la main de justice et le dais lors de la cĂ©rĂ©monie du sacre, le roi dĂ©tient le pouvoir de juge suprĂȘme. Lorsque le roi fait rĂ©gner l'ordre et la justice, il agit comme Dieu et la loi royale se confond avec la loi divine. Elle suggĂšre l'idĂ©e de principes supĂ©rieurs Ă  la volontĂ© du monarque, ce sont les lois dites lois fondamentalesElles sont au nombre de trois et fixent les rĂšgles d'accession au trĂŽne de France la primogĂ©niture mĂąle la fonction monarchique est indivisible et dĂ©lĂ©guĂ©e hĂ©rĂ©ditairement, de mĂąle en mĂąle, Ă  la lignĂ©e rĂ©gnante par ordre de naissance, Ă  l'exclusion des femmes et de leur descendance. Elle inclut la loi salique » qui interdit la succession au trĂŽne par les femmes ;le roi est majeur Ă  treize ans rĂ©volus depuis une ordonnance royale de 1374 ;le roi est loi salique permet par exemple Ă  Philippe VI de Valois, neveu du roi Philippe IV le Bel, de monter sur le trĂŽne de France en 1328 Ă  la place du prĂ©tendant masculin le plus direct, le roi d’Angleterre Edouard III, petit-fils de Philippe le Bel par sa mĂšre Isabelle. La loi salique impose aux rois un ordre de succession qu'ils ne peuvent pas modifier ; c'est la notion de royaume immuable et indĂ©pendant de la personne du vers la monarchie absolueDĂšs le XVIe siĂšcle, de nouvelles formules s'Ă©laborent pour prĂ©ciser la notion de monarchie absolue et finissent par consolider la thĂ©orie de l'absolutisme de droit divin qui resplendira sous Louis XIV.L'unification des deux corps du roi le corps mortel du roi et le corps immortel du royaume fusionnent dans la personne du souverain ; on retrouve ce principe dans la maxime Le roi ne meurt jamais ».La souverainetĂ© est absolue c'est le juriste Jean Bodin qui pose la notion de souverainetĂ© absolue en 1576, durant la pĂ©riode de guerres de religion. Il estime que la souverainetĂ© est la puissance absolue et perpĂ©tuelle » et qu'elle ne peut appartenir qu'Ă  une personne. Tous les hommes doivent se soumettre Ă  la loi du roi. En 1632, un autre juriste français, Cardin Le Bret, parvient Ă  cette dĂ©finition trĂšs concise La souverainetĂ© n'est pas plus divisible que le point en gĂ©omĂ©trie ».Le droit divin des rois dans un monde oĂč tout vient de Dieu, les rois dĂ©clarent d'abord n'avoir de compte Ă  rendre qu'Ă  Dieu puis prĂ©tendent ĂȘtre l'image de Dieu aux yeux des hommes. Le droit divin des rois de France s'est certainement construit par imitation de l'exemple pontifical. Les JĂ©suites Compagnie de JĂ©sus fondĂ©e en 1540 s'opposent Ă  ce dĂ©veloppement qu'ils jugent sacrilĂšge et vont jusqu'Ă  justifier le rĂ©gicide si le monarque se comporte comme un tyran. Chapitre 1 du royaume capĂ©tien Ă  l’état royale Section 1 le roi est empereur en son royaume , affirmation de la souverainetĂ© vis-Ă -vis de l’étranger Paragraphe 1 l’indĂ©pendance du roi Au 13 -Ăšme siĂšcle le roi de France utilise La formule du texte le roi est empereur dans son royaumemontrer que le roi devient autonome par rapport au pape et au l’empereur germanique . A La prĂ©tention du roi vis-Ă -vis de l’empereur germanique Au 10 -Ăšme siĂšcle l’empire carolingien est ressusciter par Otton 1 er , devient empereur en 962 danslequel il souhaite reprendre la succession de ces ancĂȘtres et affirme avoir des pouvoir supĂ©rieure par rapport aux autres rois . Il a pour vocation de dominer l’Europe car il est le prolongement de l’empire romain et donc que les rois sont ces subordonner . Les lĂ©gistes affirment que l’empereur est le maitre du monde qui est contenus dans les compilations justiniennes . Ils affirment qu’il possĂšde les diffĂ©rents pouvoirs = de l’octoritas = autoritĂ© morale , l’potestas = pv administrations et la disposition de l’imperium = pv de commandement militaire l'unus imperatore in orbe= il est le roi du monde et que les autres rois doivent lui obĂ©ir , face Ă  cela le roi de France va devoir affirmer son indĂ©pendance B IndĂ©pendance affirmer du royaume capĂ©tien Le roi sort d’une pĂ©riode difficile mis Ă  mal par le prince et vassaux , qu’il doit affronter l’empereur pour affirmer l’indĂ©pendance du royaume capĂ©tien . Il fait comme l’empereur et rĂ©uni des lĂ©gistes de droits romain . Ils vont dĂ©fendre la thĂšse du royaume capĂ©tien = roi de France et un Ă©gal avec l’empereur car il Ă  une dignitĂ© royale qui Ă©gale Ă  l’empereur et que le royaume capĂ©tien peut ĂȘtre indĂ©pendant face Ă  l’empire . Des le 12 -Ăšme siĂšcle les juristes affirment que le roi de France peut revendiquer les mĂȘmes prĂ©rogatives que l’empereur .Pour affirmer cela au 13 -Ăšme siĂšcle les juristes se fond sur une bulle papale prise en 1202 = qui affirme que le roi de France n’a aucun supĂ©rieur au regard du pouvoir temporelle . Plus tard elle va ĂȘtre dĂ©montrĂ© par Philipe 2 Auguste . Il faudra attendre 1260 pour que jean de blanot qui formule un argument choque = le roi de France est empereur en son royaume . Dix ans plus tard on a une formule complĂ©mentaire = le roi ne doit tenir de personnes = sans aucun sup sur le plan temporel . Cette opposition va engendrer une bataille en 1204 Ă  bouvine = Otton 4 vs Phillipe 2 auguste Il rĂ©ussit Ă  rĂ©unir tous les princes du royaume = signe de sa nouvelle autoritĂ© . Madeleine Bel Le Roi est-il empereur en son Royaume ?!Le Roi est empereur en son Royaume!» est un adage dont les sources sont confuses. En effet on l’accorde tantĂŽt Ă  des lĂ©gistes du Roi capĂ©tien Philippe II Auguste tantĂŽt Ă  Philippe IV le Bel. D’autres voient dans cette maxime une rĂ©fĂ©rence Ă  Ulpien, juriste romain du IIIĂšme, qui avait dĂ©jĂ  Ă©crit !Quod principi placuit legis habet vigorem!» ce qui plait au prince a force de loi. Cependant il parait plus souhaitable de le rattacher aux lĂ©gistes de Philippe Auguste. Ainsi cet adage -du XII ou XIIIĂšme siĂšcle- qui afïŹrme la supĂ©rioritĂ© du Roi n’est pas nouveau. Il est clair par cette citation que le Roi a la pleine autoritĂ© sur son Royaume, tout aussi bien qu’un empereur. Pourtant au XIIIĂšme siĂšcle le Royaume de France est une monarchie fĂ©odale c’est-Ă -dire que le roi entretient des Ă©changes avec ses vassaux infĂ©rieurs, ainsi que ses vassaux ont des vasseaux. Ainsi il n’est pas dans la mĂȘme position qu’un empereur qui lui est clairement au dessus de tout ses fonctionnaires, administrateurs et qui n’entretient pas d’échanges avec eux. De plus un empire contrairement au royaume est constituĂ© de diffĂ©rents territoires qui gardent leur spĂ©ciïŹcitĂ©s ethniques, et notamment une certaine autonomie; ainsi qu’un Empire sous entend un dĂ©sir de conquĂ©rir de nouvelles terres. Ce sujet s’applique pour les rois capĂ©tiens allant de Philippe II Auguste Ă  Philippe IV le la monarchie fĂ©odale des capĂ©tiens est bien diffĂ©rente d’un empire car le roi ne dĂ©tient pas le pouvoir religieux, lĂ©gislatif et militaire, cependant c’est sous son rĂšgne que la monarchie Ă©volue vers une monarchie absolue. En effet par la politique du roi, diffĂ©rentes rĂ©formes et sa volontĂ© le Royaume se adage s’avĂšre-t-il vĂ©ridique concernant le Royaume de France ?PremiĂšrement dans la monarchie fĂ©odale des CapĂ©tiens les pouvoirs du roi ne font que grandir I, de plus l’empire romain est Ă©rigĂ© en modĂšle II. I. Les pouvoirs grandissants du Roi dans la monarchie fĂ©odaleLe Roi Philippe le Bel souhaite voir ses pouvoirs ordinaires s’agrandir A, il puise son inspiration dans le Saint Empire B.A. Le Roi et ses pouvoirs ordinairesLe Roi de France dans un systĂšme fĂ©odal par son titre dĂ©tient certains pouvoirs concernant l’armĂ©e, la lĂ©gislation, les ïŹnances, ainsi que ses sujets. Il dĂ©tient l’autoritĂ© suprĂȘme, l’auctoritas. Ainsi par cette autoritĂ© il peut donner des mandements, qui sont des ordres destinĂ©s Ă  ses fonctionnaires, des agents locaux. De plus avec Philippe II Auguste 1180-1223 apparaissent les ordonnances, ce sont des textes Ă©cris adressĂ© Ă  tout sujet. En effet ce roi est un grand lĂ©gislateur , car ces ordonnances ont une portĂ©e gĂ©nĂ©rale. C’est un moyen de rĂ©former le Royaume. Il y a notamment les Chartes par lesquels les rois et autres souverains peuvent Ă©mettre des ordres, des privilĂšges ou des principes gĂ©nĂ©raux Ă  respecter. Le roi va tout de mĂȘme chercher Ă  Ă©tendre son pouvoir lĂ©gislatif, Ă  l’écart des diffĂ©rents seigneurs qui sont ses vassaux. Ainsi les rois de France ont des pouvoirs lĂ©gislatifs consĂ©quent. C’est d’ailleurs par la lĂ©gislation que Philippe II Auguste accroit son pouvoir dans le Royaume. Cela affaiblit par consĂ©quence le pouvoir des hauts personnages du Royaume, vassaux du roi, et donc la fĂ©odalitĂ©. Il y a une rĂ©elle augmentation de l’autoritĂ© suprĂȘme sous le rĂšgne des capĂ©tiens Ă  partir de Philippe Auguste. Cependant le pouvoir du roi est tout de mĂȘme limitĂ© par rapport Ă  l’Empereur dans l’Empire Romain. En effet ce dernier pouvait inïŹ‚uencer tout son Empire par ses Ă©dits, dĂ©crets, mandats et rescrits qui avaient respectivement une inïŹ‚uence sur tout le

le roi est empereur en son royaume